Sine qua non traduit une exigence, qui s’exprime par le mouvement.
Encore davantage dans cette nouvelle création dont l’écriture part de la naissance de la danse, qui a toujours été écrite avec la musique. Nous avons vraiment travaillé sur la façon dont on écrit en même temps la musique et la danse, en solo cette fois-ci. Autour du danseur le beat boxer tisse un univers très particulier auquel s’ajoute la dimension numérique. Nous retraçons de manière très brève l’évolution des arts visuels et le mouvement de la danse suit cette évolution.
Evolution qui va à l’opposé d’un classicisme monolithique et qui est donc en concordance avec notre époque qui se cherche, qui cherche son propre mouvement.
Complètement. Pour citer Ai Weiwei « Everything is art. Everything is politics. » On ne peut pas aujourd’hui faire abstraction du monde pour créer. Metamorphone part du corps tribal pour aller vers l’urbain. L’urbanisation de notre civilisation prend racine dans le tribal. Il y a une dimension circulaire dans tout ce qui nous inspire, ce que l’on prend pour un exotisme nous ramène en réalité à l’origine.
Meta… c’est la progression, les correspondances…
Et davantage encore la transformation ; c’est le chemin lui-même qui est le lien.
Encore davantage dans cette nouvelle création dont l’écriture part de la naissance de la danse, qui a toujours été écrite avec la musique. Nous avons vraiment travaillé sur la façon dont on écrit en même temps la musique et la danse, en solo cette fois-ci. Autour du danseur le beat boxer tisse un univers très particulier auquel s’ajoute la dimension numérique. Nous retraçons de manière très brève l’évolution des arts visuels et le mouvement de la danse suit cette évolution.
Evolution qui va à l’opposé d’un classicisme monolithique et qui est donc en concordance avec notre époque qui se cherche, qui cherche son propre mouvement.
Complètement. Pour citer Ai Weiwei « Everything is art. Everything is politics. » On ne peut pas aujourd’hui faire abstraction du monde pour créer. Metamorphone part du corps tribal pour aller vers l’urbain. L’urbanisation de notre civilisation prend racine dans le tribal. Il y a une dimension circulaire dans tout ce qui nous inspire, ce que l’on prend pour un exotisme nous ramène en réalité à l’origine.
Meta… c’est la progression, les correspondances…
Et davantage encore la transformation ; c’est le chemin lui-même qui est le lien.
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Une œuvre vivante, réussie permet au spectateur se créer lui aussi des liens à partir de ce qu’il voit, entend.
Et justement, le fait que Tioneb, qui a été champion du monde de BeatBox Loop, intervient en live donne une autre dimension au spectacle, chaque représentation est vraiment unique.
Metamorphone est donné à Annecy le 16 et le 17 janvier.
Une séance tout public le 16 à 19 heures. On peut y venir en famille ; le 17, ce sont deux séances scolaires. Elles remportent un grand succès devant des salles combles et un public debout. La danse électro, que Brice maîtrise parfaitement, est un véritable ancrage dans notre siècle. On peut voir de la danse électro sur les réseaux sociaux, ce qui ne doit pas empêcher d’amener les jeunes à l’envisager comme une œuvre d’art. On rejoint la démarche du dadaïsme, du street art. Celui-ci est très présent dans ce projet qui pose des questions « A qui appartiennent les murs ? A qui appartient la rue ? A qui appartient l’image ? »
Métamorphone permet aux professeurs de reprendre ces questions avec leurs élèves. C’est la première fois que nous créons un spectacle jeune public, parce que nous considérons qu’il pose des questions essentielles. Proposer à des jeunes des objets artistiques est une démarche citoyenne. Nous nous devons d’avoir cette approche qui les met en questionnement et leur permet de prolonger cette démarche chez eux.
Nous sommes déjà intervenus dans beaucoup d’établissements, dans des lycées professionnels. Le mot « danse » y est pratiquement tabou. La danse « c’est pour les filles » alors que nous dansons tous au cours de nos vies ! et que la musique, elle, y a sa place.
Ce qui nous ramène à une discussion très récente avec Omar Sosa .Il soutient que les élus devraient danser, que la danse assouplit les corps mais aussi les esprits, qu’elle est une ouverture.
En tout cas un chemin.
Et justement, le fait que Tioneb, qui a été champion du monde de BeatBox Loop, intervient en live donne une autre dimension au spectacle, chaque représentation est vraiment unique.
Metamorphone est donné à Annecy le 16 et le 17 janvier.
Une séance tout public le 16 à 19 heures. On peut y venir en famille ; le 17, ce sont deux séances scolaires. Elles remportent un grand succès devant des salles combles et un public debout. La danse électro, que Brice maîtrise parfaitement, est un véritable ancrage dans notre siècle. On peut voir de la danse électro sur les réseaux sociaux, ce qui ne doit pas empêcher d’amener les jeunes à l’envisager comme une œuvre d’art. On rejoint la démarche du dadaïsme, du street art. Celui-ci est très présent dans ce projet qui pose des questions « A qui appartiennent les murs ? A qui appartient la rue ? A qui appartient l’image ? »
Métamorphone permet aux professeurs de reprendre ces questions avec leurs élèves. C’est la première fois que nous créons un spectacle jeune public, parce que nous considérons qu’il pose des questions essentielles. Proposer à des jeunes des objets artistiques est une démarche citoyenne. Nous nous devons d’avoir cette approche qui les met en questionnement et leur permet de prolonger cette démarche chez eux.
Nous sommes déjà intervenus dans beaucoup d’établissements, dans des lycées professionnels. Le mot « danse » y est pratiquement tabou. La danse « c’est pour les filles » alors que nous dansons tous au cours de nos vies ! et que la musique, elle, y a sa place.
Ce qui nous ramène à une discussion très récente avec Omar Sosa .Il soutient que les élus devraient danser, que la danse assouplit les corps mais aussi les esprits, qu’elle est une ouverture.
En tout cas un chemin.
Conception et chorégraphie Compagnie SINE QUA NON ART
Christophe Béranger & Jonathan Pranlas-Descours
Brice Rouchet danse
Tioneb musique Beatbox Loop
Olivier Bauer création numérique vidéo
Christophe Béranger & Jonathan Pranlas-Descours
Brice Rouchet danse
Tioneb musique Beatbox Loop
Olivier Bauer création numérique vidéo