Decathlon, une enseigne qui marque les esprits et le sport

Isabelle Fayemendy, responsable Evénementiel pour Decathlon sur l’agglomération d’Annecy, nous parle de passion, de pratique sportive, de découverte… de Decathlon.
 
Isabelle, les 7 et 8 septembre 2019, Decathlon organise le Vitalsport qui est finalement un concentré de ce que vous faites toute l’année.
 

Decathlon développe le Projet 80 qui consiste à mettre 80% des Français au sport d’ici 2030. Sur l’agglomération d’Annecy, nous mettons un point d’honneur à réaliser cet objectif.

Actuellement 40/42% des Français pratiquent un sport ; la moyenne est légèrement plus élevée sur notre territoire. Nous souhaitons sortir du commerce standard pour donner envie aux gens de se mettre au sport en leur faisant découvrir de nouvelles pratiques soit sous forme d’initiations régulières au yoga, au roller… soit sous forme d’événements petits ou plus importants. Dans ce but, nous nous regroupons avec des associations sportives locales, ou bien des acteurs sportifs locaux qui peuvent être des salles de sport, des coachs afin de pouvoir proposer à tous les publics, de toutes les tranches d’âge des activités de découverte concernant le sport.

Nous offrons donc tout un éventail de possibilités au fil de l’année et l’événement phare qui renforce encore cet axe–là est le Vitalsport de la rentrée en septembre, que nous organisons en équipe.

L’esprit Decathlon existe bien. Il ne s’agit pas uniquement de vendre des produits mais aussi de conseiller, d’accompagner avant, dans la pratique. Pour cela, vous devez énormément tenir compte des retours d’expérience du public.
Bien sûr. Le système de fidélité s’est transformé chez Decathlon il y a bientôt deux ans. Les points donnant accès à des bons de réduction ont disparu, nous préférons pratiquer des prix justes toute l’année. En parallèle, pour nous différencier des autres enseignes, nous développons nos services comme les événements que nous avons évoqués et nous innovons avec nos tests produits.
 

Si vous hésitez entre deux sacs à dos pour partir en trek, vous serez reçu par un conseiller en magasin qui est lui-même un trekker passionné, Bruno, Adeline ou Quentin par exemple, qui vous proposeront de prendre celui que vous voulez tester pour monter en gamme : vous laissez une empreinte bancaire et vous avez la possibilité de tester le sac à dos gratuitement une semaine.

S’il ne vous convient pas, vous le rapportez, vous n’avez rien à payer et Decathlon reconditionne le produit qui passe en « second life ». Tous les produits Decathlon sont testables gratuitement pendant 7 jours.

Cette pratique développe la confiance des clients en Decathlon. C’est une possibilité qui accroît votre crédibilité.
Ce que les retours mettent en évidence, c’est le fait d’être conseillé par des personnes qui pratiquent réellement les activités pour lesquelles nous les choisissons. Elles savent de quoi elles parlent, quel que soit le sport, la plongée, l’athlétisme, l’escalade…

Si on est intéressé par la boxe, on peut défier le vendeur ?
Bien sûr ! (rires). Pierre, le responsable du secteur fitness, est un ancien coach de cette discipline, un ancien responsable de salle qui en septembre mettra en place des initiations. Là vous pourrez venir sans problème.
 
Mon métier me passionne et je ne me vois pas travailler ailleurs que chez Decathlon. Ce plaisir est sans doute lié aux équipes, à leur esprit, aux moyens dont nous disposons et puis au fait que je pratique un métier atypique puisque je suis responsable événementiel.

Comment le définiriez-vous ?
 

Un jour, quelqu’un m’a dit « Toi, tu crées des émotions. » Mon métier est de faire plaisir aux gens en les mettant au sport.

Avec le projet 80, de nouvelles missions apparaissent un peu partout en France dans nos magasins mais je suis encore l’une des seules à exercer ce métier à temps plein et c’est sur l’agglomération d’Annecy.
Regardez les gens qui courent aujourd’hui, runners, trailers, joggers… ils sont souvent habillés en Kalenji mais chaussés Salomon ou une autre marque….

Vous allez me dire que, connaissant bien les besoins des pratiquants, vous développez des produits adaptés à tel ou tel sport.
Exactement. Historiquement Kalenji est, chez Decathlon, la marque des coureurs, joggers, runners, athlètes, trailers. Demain Kalenji, comme toutes nos marques, va se décliner en marques différentes adaptées à votre pratique.

Kalenji va s’adresser aux joggers, Kiprun aux coureurs qui pratiquent la compétition ; à travers ces nouvelles marques, nous sommes au plus près des attentes et des pratiques des sportifs.

Si quelqu’un vient acheter une paire de chaussettes, il ne la trouvera plus à un rayon spécifique, mais dans celui qui concerne l’usage qu’il veut en faire : pour tous les jours, pour faire du trek, chaudes... ?

Quand Quechua est née, la marque concernait la randonnée, le trek et le ski, et maintenant Decathlon a sa propre marque de ski, Wed’ze. Ces nouvelles marques nous permettent d’avoir des budgets qui leur sont alloués, des ingénieurs qui y travaillent.

Wilfried, l’un de nos collaborateurs ici a contribué au développement du matériel de ski de fond pour notre marque Inovik.
 

Leur expérience de sportifs permet aux vendeurs de Decathlon de s’impliquer dans cette démarche de développement.
Et en fonction de leurs bases horaires, 10 ou 35 heures, en fonction de leurs affinités, facing, commerce, communication, ils peuvent avoir des missions de formation interne. Parmi nos collaborateurs, nous avons ainsi des coachs qui forment les autres à tous les rôles que comporte notre métier.

Il n’y a plus d’hôte de caisse, il faut être polyvalent chez Decathlon, à n’importe quel niveau.
Notre milieu est tellement riche que nous sommes toujours en turn over.

Nous avons même un site consacré uniquement au recrutement - https://recrutement.decathlon.fr/  - et un autre site pour découvrir nos activités et nos événements : https://activites.decathlon.fr/