Move-On rencontre Gaylord Pedretti pour évoquer cet événement unique qui va donner encore plus de retentissement au HIGH FIVE Festival.
L’agence LIKE THAT ne s’endort décidément pas sur ses lauriers !
Le carnet de notes qui sera distribué aux festivaliers illustre à la perfection l’esprit de l’événement. Il s’agit de réunir le monde de l’école, de l’enfance, des souvenirs et celui du modernisme, des tendances actuelles, l’artisanat, le bricolage et la performance sportive et événementielle. Ce clin d’œil à l’enfance est gage de sincérité, de véracité, qualités qui apparaissent irréfutablement quand on rencontre Gaylord.
Gaylord, un Big Air à Annecy le 30 septembre prochain. Comment définir un Big Air pour les gens qui ne connaissent pas ?
C’est un événement quasi unique. Le dernier Big Air organisé en France a eu lieu en 2008, à Grenoble, sur une structure plus basse. Grosso modo, un Big Air nécessite l’installation d’une piste éphémère, avec une structure d’échafaudage qui fait que le skieur sera à 40 mètres de haut, prendra de l’élan sur une piste de neige artificielle qui se développe sur un tremplin de 100 mètres de long. Ça permet à la discipline du ski free style de montrer, d’exposer sa discipline avant l’hiver sans que le public ait besoin de se déplacer en montagne. C’est un big événement en lui-même, mais aussi parce que ce sont des années de boulot de préparation pour se renseigner sur les conditions de faisabilité, de préparation concernant les athlètes et tous les domaines d’organisation.
C’est un événement quasi unique. Le dernier Big Air organisé en France a eu lieu en 2008, à Grenoble, sur une structure plus basse. Grosso modo, un Big Air nécessite l’installation d’une piste éphémère, avec une structure d’échafaudage qui fait que le skieur sera à 40 mètres de haut, prendra de l’élan sur une piste de neige artificielle qui se développe sur un tremplin de 100 mètres de long. Ça permet à la discipline du ski free style de montrer, d’exposer sa discipline avant l’hiver sans que le public ait besoin de se déplacer en montagne. C’est un big événement en lui-même, mais aussi parce que ce sont des années de boulot de préparation pour se renseigner sur les conditions de faisabilité, de préparation concernant les athlètes et tous les domaines d’organisation.
Ce sont tous les événements que tu as organisés avant qui t’ont permis de progresser et de franchir ce palier qui mène au Big Air ?
Exactement ; c’est la marche suivante. Le Festival High Five montre le ski, les marques, le matériel ; là on sort de l’écran de cinéma pour montrer des skieurs en action.
Le Big Air vient compléter parfaitement le High Five qui a déjà fait ses preuves. Il y aura encore d’autres développements ?
On verra ; le but n’est pas de faire de la surenchère mais de regarder ce qui se passe, de répondre à l’attente du public. Avec le Big Air on aura l’occasion de faire venir des skieurs qui ne venaient pas sur le festival dans le passé, des champions olympiques, des champions du monde…
Le même week end se tiendra le Alps Man. On peut y voir une complémentarité, une synergie plutôt qu’une concurrence ?
Les publics ne sont pas forcément les mêmes. Les deux événements ne sont pas concurrents, ce ne sont pas les mêmes médias. Il faut plutôt y voir quelque chose de positif.
Exactement ; c’est la marche suivante. Le Festival High Five montre le ski, les marques, le matériel ; là on sort de l’écran de cinéma pour montrer des skieurs en action.
Le Big Air vient compléter parfaitement le High Five qui a déjà fait ses preuves. Il y aura encore d’autres développements ?
On verra ; le but n’est pas de faire de la surenchère mais de regarder ce qui se passe, de répondre à l’attente du public. Avec le Big Air on aura l’occasion de faire venir des skieurs qui ne venaient pas sur le festival dans le passé, des champions olympiques, des champions du monde…
Le même week end se tiendra le Alps Man. On peut y voir une complémentarité, une synergie plutôt qu’une concurrence ?
Les publics ne sont pas forcément les mêmes. Les deux événements ne sont pas concurrents, ce ne sont pas les mêmes médias. Il faut plutôt y voir quelque chose de positif.
Comment se sont passées les tractations, les discussions avec les responsables, les élus locaux ?
Le maire, Jean-Luc Rigaut soutient l’événement depuis le début. Au regard des institutionnels on a toujours été un peu des extra terrestres, mais ils ne nous ont jamais mis des bâtons dans les roues. Le fait que nous organisions des festivals depuis 2010 nous donne de la crédibilité. Notre rôle est de suivre nos « folies », le leur est d’y mettre un cadre, c’est leur boulot. Le projet est tellement énorme qu’il y a fallu du temps. De notre côté on est tout feu tout flamme mais on a appris à travailler avec l’institutionnel. Le Big Air se tiendra place des Romains, tout près du festival et du village de marques , ce sera très pratique ; et puis la structure du tremplin sera montée sur du béton. Pour une première édition , c’est parfait. On verra éventuellement pour le Paquier par la suite.
Le maire, Jean-Luc Rigaut soutient l’événement depuis le début. Au regard des institutionnels on a toujours été un peu des extra terrestres, mais ils ne nous ont jamais mis des bâtons dans les roues. Le fait que nous organisions des festivals depuis 2010 nous donne de la crédibilité. Notre rôle est de suivre nos « folies », le leur est d’y mettre un cadre, c’est leur boulot. Le projet est tellement énorme qu’il y a fallu du temps. De notre côté on est tout feu tout flamme mais on a appris à travailler avec l’institutionnel. Le Big Air se tiendra place des Romains, tout près du festival et du village de marques , ce sera très pratique ; et puis la structure du tremplin sera montée sur du béton. Pour une première édition , c’est parfait. On verra éventuellement pour le Paquier par la suite.
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Il est important de souligner que l’événement est organisé grâce à des fonds privés. Nous n’avons pas demandé un centime d’argent public. Nous prenons soin aussi de notre trace carbone, en travaillant par exemple avec Thierry Billet (maire adjoint de la ville d’Annecy au développement durable). La neige sera fabriquée sans additif chimique, les camions de transport viendront de France…toutes les mesures sont prises pour ne pas faire de cet événement un caprice hors saison. La montagne, nous la vivons toute l’année, j’y suis né. Mais respecter la montagne ne signifie pas être rigide, l’univers du ski a besoin de casser la saisonnalité pour être plus visible. Nous nous entourons de vrais professionnels dans le domaine éco-durable.
C’est une forme de véritable maturité.
Oui, on apprend ! Nos événements bénéficient du cadre exceptionnel qui entoure Annecy ; d’une certaine manière nous le lui rendons.
C’est une forme de véritable maturité.
Oui, on apprend ! Nos événements bénéficient du cadre exceptionnel qui entoure Annecy ; d’une certaine manière nous le lui rendons.