Anne Chedozeau, directrice de la communication pour le Tournoi des Petits Princes d’Annecy ©Move-On Magazine
Anne, comment êtes-vous arrivée dans cette aventure ?
Je faisais partie du comité d’Annecy Tennis. La direction du tournoi a changé et j’ai alors proposé mon aide pour la direction du volet événementiel et communication, gestion des bénévoles. En matière de communication, il y a les plaquettes, les affiches, qui nécessitent un travail plutôt en amont.
Normalement, si c’est bien préparé, ça roule pendant le tournoi.
Oui, d’ailleurs vous voyez que là je suis au café ; c’est que ça va bien. Je m’occupe aussi des sponsors. Pas de leur recherche, que je ne peux pas faire depuis Panama où je réside depuis quelques années, mais de ceux qui nous sont fidèles. Je leur envoie les invitations, je fais les contrats.
Je commence par l’affiche pour laquelle je travaille avec Pierre Amoudry, originaire du Grand Bornand , mais qui travaille à Barcelone. On commence début janvier. Pour la plaquette, mon graphiste est à Annecy, on travaille donc par mails. Il y a aussi les flyers qu’on dépose chez les commerçants.
Vous aviez déjà des prédispositions pour cette activité ?
Pas du tout. J’ai été assistante de direction du PDG chez Cadbury Schweppes.J’organisais tout ce qui était formation dans l’entreprise. J’aime tout ce qui est organisation.
Je faisais partie du comité d’Annecy Tennis. La direction du tournoi a changé et j’ai alors proposé mon aide pour la direction du volet événementiel et communication, gestion des bénévoles. En matière de communication, il y a les plaquettes, les affiches, qui nécessitent un travail plutôt en amont.
Normalement, si c’est bien préparé, ça roule pendant le tournoi.
Oui, d’ailleurs vous voyez que là je suis au café ; c’est que ça va bien. Je m’occupe aussi des sponsors. Pas de leur recherche, que je ne peux pas faire depuis Panama où je réside depuis quelques années, mais de ceux qui nous sont fidèles. Je leur envoie les invitations, je fais les contrats.
Je commence par l’affiche pour laquelle je travaille avec Pierre Amoudry, originaire du Grand Bornand , mais qui travaille à Barcelone. On commence début janvier. Pour la plaquette, mon graphiste est à Annecy, on travaille donc par mails. Il y a aussi les flyers qu’on dépose chez les commerçants.
Vous aviez déjà des prédispositions pour cette activité ?
Pas du tout. J’ai été assistante de direction du PDG chez Cadbury Schweppes.J’organisais tout ce qui était formation dans l’entreprise. J’aime tout ce qui est organisation.
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Avec le Tournoi des Petits Princes, à l’organisation s’ajoute une bonne ambiance.
Nous sommes Tennis Europe depuis quatre ans. Il y a eu une période d’adaptation mais depuis l’année dernière ça roule. C’est plus facile aussi de travailler avec une équipe stable. Elise Grosset est mon point d’attache, mon relais sur Annecy depuis trois ans. Nous nous entendons très bien. Je travaille aussi avec les bénévoles à distance. Robert Fudala est leur responsable mais c’est moi qui coordonne l’ensemble . Pendant le tournoi, je m’occupe de tout ce qui concerne la communication sur les réseaux sociaux. J’informe aussi les gens d’Annecy, la mairie…
C’est une passion, parce que gérer tout ça de Panama, ce n’est pas évident.
Je vous l’ai dit, j’aime organiser, même à la maison. C’est aussi du relationnel. Cette activité constitue un lien, une attache avec Annecy et mes amis qui sont ici.
J’aimerais bien travailler un jour pour Roland Garros, même si le tournoi a son agence pour l’événementiel. Stéphane Post m’avait dit que ce serait envisageable car je comptais rentrer en France. Ce qui n’est que partie remise. Comme Roland est tellement vaste, j’envisagerais bien de travailler sur les navettes avec les joueurs. En plus, ça doit être sympa de rencontrer de grands joueurs, Nadal et d’autres. Comme je pense rentrer vraiment l’an prochain, je compte travailler dans l’événementiel.
Le Tournoi des Petits Princes est actuellement en catégorie trois. J’espère que nous passerons en catégorie deux. Les différences viennent du cahier des charges, qui va avec la qualité du tournoi. Un DTN de la Fédération nous avait assuré l’an dernier que nous avions largement le niveau requis. Il y a ensuite la catégorie un, avec un budget plus conséquent. Il faut que le club puisse le supporter.
Actuellement le tournoi fonctionne bien mais il faut faciliter le travail de l’équipe des bénévoles. Beaucoup participent à d’autres événements, comme le marathon ; mais la plupart sont sur une seule journée. Un format de huit jours est plus exigeant. Je réfléchis à l’idée d’un relais, à un roulement.
La perspective de grimper dans les échelons Europe est intéressante parce qu’elle évite la routine.
Et elle s’accompagne d’une élévation du niveau des joueurs, parce qu’ils gagnent plus ou moins de point en fonction du niveau du tournoi. Ceci dit, le spectacle actuel est déjà satisfaisant. Nous avons cette année un joueur mexicain d’un excellent niveau mondial.
Nous offrons aussi-ce qui n’est pas obligatoire-un arbitrage de qualité qui forme nos jeunes arbitres et rassure aussi bien les familles que les joueurs.
Et une fois les matches finis, on peut aller se baigner juste en face.
Le cadre sympa vient compléter l’ensemble.
Nous sommes Tennis Europe depuis quatre ans. Il y a eu une période d’adaptation mais depuis l’année dernière ça roule. C’est plus facile aussi de travailler avec une équipe stable. Elise Grosset est mon point d’attache, mon relais sur Annecy depuis trois ans. Nous nous entendons très bien. Je travaille aussi avec les bénévoles à distance. Robert Fudala est leur responsable mais c’est moi qui coordonne l’ensemble . Pendant le tournoi, je m’occupe de tout ce qui concerne la communication sur les réseaux sociaux. J’informe aussi les gens d’Annecy, la mairie…
C’est une passion, parce que gérer tout ça de Panama, ce n’est pas évident.
Je vous l’ai dit, j’aime organiser, même à la maison. C’est aussi du relationnel. Cette activité constitue un lien, une attache avec Annecy et mes amis qui sont ici.
J’aimerais bien travailler un jour pour Roland Garros, même si le tournoi a son agence pour l’événementiel. Stéphane Post m’avait dit que ce serait envisageable car je comptais rentrer en France. Ce qui n’est que partie remise. Comme Roland est tellement vaste, j’envisagerais bien de travailler sur les navettes avec les joueurs. En plus, ça doit être sympa de rencontrer de grands joueurs, Nadal et d’autres. Comme je pense rentrer vraiment l’an prochain, je compte travailler dans l’événementiel.
Le Tournoi des Petits Princes est actuellement en catégorie trois. J’espère que nous passerons en catégorie deux. Les différences viennent du cahier des charges, qui va avec la qualité du tournoi. Un DTN de la Fédération nous avait assuré l’an dernier que nous avions largement le niveau requis. Il y a ensuite la catégorie un, avec un budget plus conséquent. Il faut que le club puisse le supporter.
Actuellement le tournoi fonctionne bien mais il faut faciliter le travail de l’équipe des bénévoles. Beaucoup participent à d’autres événements, comme le marathon ; mais la plupart sont sur une seule journée. Un format de huit jours est plus exigeant. Je réfléchis à l’idée d’un relais, à un roulement.
La perspective de grimper dans les échelons Europe est intéressante parce qu’elle évite la routine.
Et elle s’accompagne d’une élévation du niveau des joueurs, parce qu’ils gagnent plus ou moins de point en fonction du niveau du tournoi. Ceci dit, le spectacle actuel est déjà satisfaisant. Nous avons cette année un joueur mexicain d’un excellent niveau mondial.
Nous offrons aussi-ce qui n’est pas obligatoire-un arbitrage de qualité qui forme nos jeunes arbitres et rassure aussi bien les familles que les joueurs.
Et une fois les matches finis, on peut aller se baigner juste en face.
Le cadre sympa vient compléter l’ensemble.