Corine, bienvenue à Musilac ! Peux-tu nous dire qui est Corine selon toi ?
Eh bien, c'est moi, bien sûr. C'est une question récurrente depuis la sortie de mon premier titre. En France, nous n'avons pas l'habitude des personnages féminins qui se transforment, contrairement aux artistes anglo-américaines qui aiment le spectaculaire sur scène. J'ai beaucoup joué avec cette idée. Maintenant, de plus en plus d'artistes français adoptent cette approche spectaculaire. Corine, c'est moi, authentique et unique, c'est une continuité de mon parcours de femme et d'artiste. J'ai commencé avec le cirque, le théâtre, le cabaret, et je ne pouvais pas imaginer la scène sans un langage visuel fort. Corine, c'est aussi un langage visuel, une scénographie, un spectacle.
Avec tes dernières chansons, cherches-tu à apporter une touche de fraîcheur à la musique, notamment avec des reprises et des collaborations avec des artistes comme IAM, Mylène Farmer ou encore Juliette Armanet ?
Juliette Armanet, c'était au début. Quant à Mylène Farmer, c'est Courrier Sud (Libertine) qui m'a proposé cette collaboration. J'aime explorer de nouveaux territoires. Par exemple, j'ai récemment fait un duo avec un artiste syrien, je chante en français et lui en arabe, ce qui est très émouvant. Je chante aussi en italien et en anglais. Ces collaborations m'apportent une grande liberté et me permettent de me régénérer.
Eh bien, c'est moi, bien sûr. C'est une question récurrente depuis la sortie de mon premier titre. En France, nous n'avons pas l'habitude des personnages féminins qui se transforment, contrairement aux artistes anglo-américaines qui aiment le spectaculaire sur scène. J'ai beaucoup joué avec cette idée. Maintenant, de plus en plus d'artistes français adoptent cette approche spectaculaire. Corine, c'est moi, authentique et unique, c'est une continuité de mon parcours de femme et d'artiste. J'ai commencé avec le cirque, le théâtre, le cabaret, et je ne pouvais pas imaginer la scène sans un langage visuel fort. Corine, c'est aussi un langage visuel, une scénographie, un spectacle.
Avec tes dernières chansons, cherches-tu à apporter une touche de fraîcheur à la musique, notamment avec des reprises et des collaborations avec des artistes comme IAM, Mylène Farmer ou encore Juliette Armanet ?
Juliette Armanet, c'était au début. Quant à Mylène Farmer, c'est Courrier Sud (Libertine) qui m'a proposé cette collaboration. J'aime explorer de nouveaux territoires. Par exemple, j'ai récemment fait un duo avec un artiste syrien, je chante en français et lui en arabe, ce qui est très émouvant. Je chante aussi en italien et en anglais. Ces collaborations m'apportent une grande liberté et me permettent de me régénérer.
On dirait que tu cherches à te réinventer à chaque projet. Est-ce le cas ?
Je ne pense pas vraiment à me réinventer. Je suis touchée par les productions qui me parlent. Mon premier album était "Over Disco", et le deuxième contient des notes plus électro, mais c'est simplement où mes tripes m'ont menée à ce moment-là. Je ne cherche pas à répondre à des attentes spécifiques, je suis mon instinct.
Y a-t-il quelque chose de particulier pour le live de ce soir ?
Ce soir est notre dernier live de la tournée, ce qui sera très émouvant. Pino d'Angio, avec qui j'ai fait un duo, vient de mourir. Ce sera la première fois que nous interprétons ce titre depuis sa disparition, il y a une semaine.
As-tu un mantra avant de monter sur scène ?
J'aime bien prendre un petit shot de rhum, ça me détend. Et j'adore cette phrase : "L'important, ce n'est pas l'orage, c'est d'apprendre à danser sous la pluie". C'est un bon mantra pour traverser les tempêtes.
Je ne pense pas vraiment à me réinventer. Je suis touchée par les productions qui me parlent. Mon premier album était "Over Disco", et le deuxième contient des notes plus électro, mais c'est simplement où mes tripes m'ont menée à ce moment-là. Je ne cherche pas à répondre à des attentes spécifiques, je suis mon instinct.
Y a-t-il quelque chose de particulier pour le live de ce soir ?
Ce soir est notre dernier live de la tournée, ce qui sera très émouvant. Pino d'Angio, avec qui j'ai fait un duo, vient de mourir. Ce sera la première fois que nous interprétons ce titre depuis sa disparition, il y a une semaine.
As-tu un mantra avant de monter sur scène ?
J'aime bien prendre un petit shot de rhum, ça me détend. Et j'adore cette phrase : "L'important, ce n'est pas l'orage, c'est d'apprendre à danser sous la pluie". C'est un bon mantra pour traverser les tempêtes.
Peux-tu nous parler de tes projets à venir ?
J'ai deux collaborations en cours : une avec Habibi Sly, producteur de mon dernier album "R", où il m'invite sur ses productions aux influences franco-syriennes. Et une autre avec Marine Neuilly, ancienne musicienne des Plasticines, sur un projet qui revient à mes premières amours pour le rock indépendant.
Une Question Inattendue : Y a-t-il une question que tu aimerais qu'on te pose ?
C'est une bonne question ! La question que j'aimerais qu'on me pose, c'est justement celle-ci : quelle est la question que j'aimerais qu'on me pose. C'est très intéressant, je vais y réfléchir.
"Tu Te Prends Pour Qui" : Si tu pouvais te prendre pour quelqu'un d'autre, qui serais-tu ?
J'adorerais être Raffaella Carrà. Être une icône emblématique et visuelle à son époque, c'est quelque chose qui me fascine.
J'ai deux collaborations en cours : une avec Habibi Sly, producteur de mon dernier album "R", où il m'invite sur ses productions aux influences franco-syriennes. Et une autre avec Marine Neuilly, ancienne musicienne des Plasticines, sur un projet qui revient à mes premières amours pour le rock indépendant.
Une Question Inattendue : Y a-t-il une question que tu aimerais qu'on te pose ?
C'est une bonne question ! La question que j'aimerais qu'on me pose, c'est justement celle-ci : quelle est la question que j'aimerais qu'on me pose. C'est très intéressant, je vais y réfléchir.
"Tu Te Prends Pour Qui" : Si tu pouvais te prendre pour quelqu'un d'autre, qui serais-tu ?
J'adorerais être Raffaella Carrà. Être une icône emblématique et visuelle à son époque, c'est quelque chose qui me fascine.
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