Après ce travail de Romain, le 2° SOSH BIG AIR s’annonce encore plus sportif, plus spectaculaire. Plus !
Sans parler de ceux à venir…
Mais si, parlons-en puisque Gaylord a pu trouver un peu de temps pour nous faire "quelques confidences" quelques jours avant l'événement.
Finalement, la place des Romains a été une étape intermédiaire qui a vraiment motivé toute l'équipe pour décrocher le Pâquier ?
Oui, on avait promis à notre public qu’on allait décrocher la lune pour lui ;) On voulait aller au bout de notre promesse car le public nous a donné une énergie dingue qui nous a permis d’affronter toutes les péripéties pour y arriver. C’est un peu comme la phrase d'Oscar Wilde qui disait « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles ». Donc finalement, faire l’événement sur la place des Romains (les étoiles) l’année dernière, nous a rapproché de la lune (le Pâquier). On est du genre, a ne pas baisser les bras et donc oui, l’année dernière, on s’est dit qu’il fallait faire nos preuves. On est très heureux que cette édition puisse se dérouler sur le « champ de mars » d’Annecy ;)
Sans parler de ceux à venir…
Mais si, parlons-en puisque Gaylord a pu trouver un peu de temps pour nous faire "quelques confidences" quelques jours avant l'événement.
Finalement, la place des Romains a été une étape intermédiaire qui a vraiment motivé toute l'équipe pour décrocher le Pâquier ?
Oui, on avait promis à notre public qu’on allait décrocher la lune pour lui ;) On voulait aller au bout de notre promesse car le public nous a donné une énergie dingue qui nous a permis d’affronter toutes les péripéties pour y arriver. C’est un peu comme la phrase d'Oscar Wilde qui disait « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles ». Donc finalement, faire l’événement sur la place des Romains (les étoiles) l’année dernière, nous a rapproché de la lune (le Pâquier). On est du genre, a ne pas baisser les bras et donc oui, l’année dernière, on s’est dit qu’il fallait faire nos preuves. On est très heureux que cette édition puisse se dérouler sur le « champ de mars » d’Annecy ;)
D’où t’es venu cette idée de faire un big air à annecy ?
J’ai crée Like That en 2008 à Annecy et je dois avouer que depuis 2010 j’avais en tête de faire un jour un big air sur le Pâquier. OSV m’avait mis la puce à l’oreille car en 2009, Rémi Forsans avec Jean-Marc Favre avaient monté un chouette projet qui n’a malheureusement jamais vu le jour, et faire un big air était dans les composantes de leurs projets. L’Office du Tourisme était dans les échanges (avec Daniel Cavalli l’ancien directeur). Ils avaient pensé à l’agence pour les accompagner. Mais au final le projet est tombé à l’eau. Cependant les réunions passées, les échanges… ça m’a fait dire « un jour tu y arriveras ». Moi je n’étais qu’un prestataire consulté sur ce coup. Franchement ce qu’on aime à l’agence c’est de faire tout de A à Z. Donc j’ai gardé ça dans un coin de la tête. Et puis à force de voir les autres faire, tu observes et tu veux essayer par toi même. J’avais assisté au City big air Nokia Totally Board à Marseille en 2002, j’ai été plusieurs fois à Zurich pour le freestyle.ch, j’ai co-organisé celui qui s’était déroulé à Disney Village en 2004, puis j’ai été à Stockholm au King of Style en 2007, à celui de Grenoble pour Jeux de Neige en 2008 et à Innsbruck pour l’Air & Style 2012 et à Oslo en 2016 pour le Big Air des X Games. Donc oui, ça fait des années que ça me titillait d’oser un événement d’une telle ampleur. Il faut savoir que c’est une discipline qui fera son entrée aux J.O 2018. Forcément, quelque part Annecy était prédestiné pour accueillir une telle structure. La rencontre et l'envie de faire des choses avec Aissam Dabbaoui & Raf Regazzoni (nous sommes associés sous l’entité B.U.G) a fait renaître cette idée, ce projet. Et avec leur expérience et leur expertise, c’était les meilleurs partenaires pour y arriver. A l’agence (Like That), j’ai une équipe incroyable, donc tous réunis + Aiss & Raf, c’était pour moi, une bonne raison d’y aller et d’y croire. La preuve, on a réussi à le faire.
Réaliser un événement de cette ampleur c’est un travail de titan ?
Oh oui vraiment! Déjà il faut savoir qu’on a dû faire des études de sols poussées, et même une étude de l’étude de sol ! On ne laisse rien au hasard sur le montage de la structure, sur la sécurité, sur tout en fait. Ça ne paraît pas mais c’est un travail de dingue et on s’entoure des meilleurs pour que l’événement se déroule dans les meilleures conditions. A l’année, on est 8 à travailler sur le festival et on ne se tourne jamais les pouces !
Est-ce que le Big Air d'Annecy est déjà une référence mondiale?
Oui vraiment. Il suffit juste de voir la liste des champions qui seront présents pour s’en rendre compte. Raf a l’agence s’occupe d’inviter les riders et c’est de loin le meilleur pour ça. Il connaît tout le monde. On a même le champion olympique qui vient. Il est blessé et a donc décidé de venir voir et apprécier la compétition. La plupart des athlètes présents seront aux J.O dans quelques mois. La compétition passera d’ailleurs en live sur internet pour satisfaire notre public à l’international. Le High Five Festival s’est offert une notoriété mondiale depuis quelques années : plus de 9 pays sont représentés parmi les films à l’affiche. Clairement, aujourd’hui le High Five c’est une référence mondiale dans le ski. Ce n’est pas moi qui le dis, mais l’industrie. Forcément, ça nous donne envie de continuer à étonner. Le teaser du festival fait + de 220 000 vues cette année alors qu’il y a 4 ans, on en faisait 35 000. C’est incroyable !
J’ai crée Like That en 2008 à Annecy et je dois avouer que depuis 2010 j’avais en tête de faire un jour un big air sur le Pâquier. OSV m’avait mis la puce à l’oreille car en 2009, Rémi Forsans avec Jean-Marc Favre avaient monté un chouette projet qui n’a malheureusement jamais vu le jour, et faire un big air était dans les composantes de leurs projets. L’Office du Tourisme était dans les échanges (avec Daniel Cavalli l’ancien directeur). Ils avaient pensé à l’agence pour les accompagner. Mais au final le projet est tombé à l’eau. Cependant les réunions passées, les échanges… ça m’a fait dire « un jour tu y arriveras ». Moi je n’étais qu’un prestataire consulté sur ce coup. Franchement ce qu’on aime à l’agence c’est de faire tout de A à Z. Donc j’ai gardé ça dans un coin de la tête. Et puis à force de voir les autres faire, tu observes et tu veux essayer par toi même. J’avais assisté au City big air Nokia Totally Board à Marseille en 2002, j’ai été plusieurs fois à Zurich pour le freestyle.ch, j’ai co-organisé celui qui s’était déroulé à Disney Village en 2004, puis j’ai été à Stockholm au King of Style en 2007, à celui de Grenoble pour Jeux de Neige en 2008 et à Innsbruck pour l’Air & Style 2012 et à Oslo en 2016 pour le Big Air des X Games. Donc oui, ça fait des années que ça me titillait d’oser un événement d’une telle ampleur. Il faut savoir que c’est une discipline qui fera son entrée aux J.O 2018. Forcément, quelque part Annecy était prédestiné pour accueillir une telle structure. La rencontre et l'envie de faire des choses avec Aissam Dabbaoui & Raf Regazzoni (nous sommes associés sous l’entité B.U.G) a fait renaître cette idée, ce projet. Et avec leur expérience et leur expertise, c’était les meilleurs partenaires pour y arriver. A l’agence (Like That), j’ai une équipe incroyable, donc tous réunis + Aiss & Raf, c’était pour moi, une bonne raison d’y aller et d’y croire. La preuve, on a réussi à le faire.
Réaliser un événement de cette ampleur c’est un travail de titan ?
Oh oui vraiment! Déjà il faut savoir qu’on a dû faire des études de sols poussées, et même une étude de l’étude de sol ! On ne laisse rien au hasard sur le montage de la structure, sur la sécurité, sur tout en fait. Ça ne paraît pas mais c’est un travail de dingue et on s’entoure des meilleurs pour que l’événement se déroule dans les meilleures conditions. A l’année, on est 8 à travailler sur le festival et on ne se tourne jamais les pouces !
Est-ce que le Big Air d'Annecy est déjà une référence mondiale?
Oui vraiment. Il suffit juste de voir la liste des champions qui seront présents pour s’en rendre compte. Raf a l’agence s’occupe d’inviter les riders et c’est de loin le meilleur pour ça. Il connaît tout le monde. On a même le champion olympique qui vient. Il est blessé et a donc décidé de venir voir et apprécier la compétition. La plupart des athlètes présents seront aux J.O dans quelques mois. La compétition passera d’ailleurs en live sur internet pour satisfaire notre public à l’international. Le High Five Festival s’est offert une notoriété mondiale depuis quelques années : plus de 9 pays sont représentés parmi les films à l’affiche. Clairement, aujourd’hui le High Five c’est une référence mondiale dans le ski. Ce n’est pas moi qui le dis, mais l’industrie. Forcément, ça nous donne envie de continuer à étonner. Le teaser du festival fait + de 220 000 vues cette année alors qu’il y a 4 ans, on en faisait 35 000. C’est incroyable !
Le Big Air passe des Romains au Pâquier. Vous n'avez pas l'intention de le situer ailleurs pour l'édition suivante ?
Si, dans la tête des gens. On veut que cette édition marque les esprits et donc non, on souhaite proposer autre chose en 2018. Autre chose que le Big Air et faire grandir le High Five avec de la nouveauté. Le Big Air, une fois que tu l’as fait place des Romains, puis sur le Pâquier, l’année d’après tu le fais où ? Le but n’est pas d’aller mettre la structure dans le lac pour faire dans la surenchère. Je ne vois pas le ski ou mon travail comme un cirque. Je suis dans le spectaculaire, mais du côté émotion. Sosh l’a aussi bien intégré et a été mis dans la confidentialité en mars quand on s’est décidé à proposer de la nouveauté en 2018. Le maire d’Annecy et son cabinet en on été aussi informés. Pour 2018 on a déjà des choses en tête, qui seront dingues, mais plus dans le l’expérience, dans le partage et qui ne nécessiteront pas la fabrication de neige. La montagne a toujours besoin d’un événement fort et le public venait déjà au High Five avant le Big Air. Celui-ci nous a offert un sacré coup de projecteur qui justement va nous permettre de faire évoluer l’événement dans une nouvelle direction. On voulait terminer le Big Air sur une notion de rêve; on veut que ça reste un rêve, et pas la lubie chaque année de faire plus gros. Toute l’équipe est d’accord avec cette décision, car on est persuadés et convaincus qu’en 2018 on va étonner les gens différemment. Le High Five, on peut le faire grandir tout seul en faisant des choses qui vont plaire et en se renouvelant.
Si, dans la tête des gens. On veut que cette édition marque les esprits et donc non, on souhaite proposer autre chose en 2018. Autre chose que le Big Air et faire grandir le High Five avec de la nouveauté. Le Big Air, une fois que tu l’as fait place des Romains, puis sur le Pâquier, l’année d’après tu le fais où ? Le but n’est pas d’aller mettre la structure dans le lac pour faire dans la surenchère. Je ne vois pas le ski ou mon travail comme un cirque. Je suis dans le spectaculaire, mais du côté émotion. Sosh l’a aussi bien intégré et a été mis dans la confidentialité en mars quand on s’est décidé à proposer de la nouveauté en 2018. Le maire d’Annecy et son cabinet en on été aussi informés. Pour 2018 on a déjà des choses en tête, qui seront dingues, mais plus dans le l’expérience, dans le partage et qui ne nécessiteront pas la fabrication de neige. La montagne a toujours besoin d’un événement fort et le public venait déjà au High Five avant le Big Air. Celui-ci nous a offert un sacré coup de projecteur qui justement va nous permettre de faire évoluer l’événement dans une nouvelle direction. On voulait terminer le Big Air sur une notion de rêve; on veut que ça reste un rêve, et pas la lubie chaque année de faire plus gros. Toute l’équipe est d’accord avec cette décision, car on est persuadés et convaincus qu’en 2018 on va étonner les gens différemment. Le High Five, on peut le faire grandir tout seul en faisant des choses qui vont plaire et en se renouvelant.
Donc quelque part, tu as écouté les quelques détracteurs ?
Oui et non. En fait, il y a un truc qui est sûr, c’est que je suis chef d’entreprise et que je suis dans des réalités économiques. Par contre si je peux concilier les réalités économiques et les réalités environnementales, c’est parfait. Mais ce ne sont pas les gens virulents à notre égard qui m’ont fait réfléchir. Pour moi ils aboient car au final aucun n’est venu me parler ou m’a proposé un rdv. Aucun ! Dès que j’ai ouvert le débat pour tenter d’intégrer des réflexions de fond, il n’y avait plus personne. Je n’aime pas la méthode « fais pas ci, fais pas ça ». J’aime l’échange, qu’on m’explique. J’ai énormément appris avec des gens comme Mountain Riders qui justement, ont pris la peine de venir au bureau, de nous former, de nous informer. Quelqu’un qui accepte de nous éduquer et d’être force de solution au lieu de nous gronder, voilà la méthode qui marche avec moi. On a écouté les différents sons de cloche mais on s’est aussi écoutés. Une page se tourne, mais le chapitre suivant va être excitant, croyez-moi ! On garde le rythme d’écriture et on a plein de belles choses en tête. J’aime bien cette expression « Ma seule liberté est de rêver alors je rêve de liberté ». Ça s’y prête bien pour nous et c’est une bonne transition vers 2018.
Oui et non. En fait, il y a un truc qui est sûr, c’est que je suis chef d’entreprise et que je suis dans des réalités économiques. Par contre si je peux concilier les réalités économiques et les réalités environnementales, c’est parfait. Mais ce ne sont pas les gens virulents à notre égard qui m’ont fait réfléchir. Pour moi ils aboient car au final aucun n’est venu me parler ou m’a proposé un rdv. Aucun ! Dès que j’ai ouvert le débat pour tenter d’intégrer des réflexions de fond, il n’y avait plus personne. Je n’aime pas la méthode « fais pas ci, fais pas ça ». J’aime l’échange, qu’on m’explique. J’ai énormément appris avec des gens comme Mountain Riders qui justement, ont pris la peine de venir au bureau, de nous former, de nous informer. Quelqu’un qui accepte de nous éduquer et d’être force de solution au lieu de nous gronder, voilà la méthode qui marche avec moi. On a écouté les différents sons de cloche mais on s’est aussi écoutés. Une page se tourne, mais le chapitre suivant va être excitant, croyez-moi ! On garde le rythme d’écriture et on a plein de belles choses en tête. J’aime bien cette expression « Ma seule liberté est de rêver alors je rêve de liberté ». Ça s’y prête bien pour nous et c’est une bonne transition vers 2018.
Tu as l’air d’être excité par le futur tout en aimant les étapes par lesquelles vous êtes passés. Je me trompe ?
Non c’est vrai. Aujourd’hui grâce au Sosh Big Air, le High Five s’est offert une tribune extraordinaire. Il faut maintenant savoir transformer l’essai et écrire les prochains chapitres. J’ai toujours aimé la remise en question. Elle permet d’aller de l’avant. Sans le Mondial du Ski que j’organisais dans le passé, je n’aurais pas rencontré Orange (Christophe Tournant), sans mon départ des 2 Alpes pour monter mon agence, je n’aurais pas lancé l’IF3 en France en 2010 avec l’aide d’Orange que j’avais rencontré auparavant en 2008. Sans Orange qui m’a emmené à Sosh et à rencontrer Sandy Alibo qui s’occupe des partenariats pour la marque, on n’aurait peut-être pas créé The Reels puis lancé le High Five. Et sans tout ce cheminement, le Sosh Big Air n’aurait jamais eu lieu ni à Annecy, ni ailleurs. Sans le Sosh Big Air, le High Five n’aurait pas eu cet écho. Et c’est au travers du Sosh Big Air qu’on a pu travailler et montrer notre savoir faire à la mairie d’Annecy et que j’ai pu tisser des liens de confiance avec Monsieur le Maire (Jean Luc Rigaut). Plein de belles rencontres qui m’ont emmené là; donc oui, forcément, j’ai envie de découvrir la suite de l’arbre généalogique de Like That qui pousse en n’oubliant pas ses racines. Il faut toujours accepter le passé pour mieux voir et appréhender le futur. Je suis ravi que Sosh ait pu nous faire confiance de la sorte. C’est une expérience incroyable d’avoir pu réaliser ça. On est bien conscients de la chance qu’on a. Le groupe Orange est client de l’agence depuis 2010 et on a encore de belles choses à écrire. En plaisantant quand on a voulu arrêter le iF3 pour créer notre propre festival, j’utilisais la métaphore « On a été la nounou du iF3, on est les parents du High Five ». Justement en conservant cette vision, je peux vous dire qu’on sait comment le High Five va grandir et qu’on veut qu’il continue de s’émanciper et à nous étonner.
Non c’est vrai. Aujourd’hui grâce au Sosh Big Air, le High Five s’est offert une tribune extraordinaire. Il faut maintenant savoir transformer l’essai et écrire les prochains chapitres. J’ai toujours aimé la remise en question. Elle permet d’aller de l’avant. Sans le Mondial du Ski que j’organisais dans le passé, je n’aurais pas rencontré Orange (Christophe Tournant), sans mon départ des 2 Alpes pour monter mon agence, je n’aurais pas lancé l’IF3 en France en 2010 avec l’aide d’Orange que j’avais rencontré auparavant en 2008. Sans Orange qui m’a emmené à Sosh et à rencontrer Sandy Alibo qui s’occupe des partenariats pour la marque, on n’aurait peut-être pas créé The Reels puis lancé le High Five. Et sans tout ce cheminement, le Sosh Big Air n’aurait jamais eu lieu ni à Annecy, ni ailleurs. Sans le Sosh Big Air, le High Five n’aurait pas eu cet écho. Et c’est au travers du Sosh Big Air qu’on a pu travailler et montrer notre savoir faire à la mairie d’Annecy et que j’ai pu tisser des liens de confiance avec Monsieur le Maire (Jean Luc Rigaut). Plein de belles rencontres qui m’ont emmené là; donc oui, forcément, j’ai envie de découvrir la suite de l’arbre généalogique de Like That qui pousse en n’oubliant pas ses racines. Il faut toujours accepter le passé pour mieux voir et appréhender le futur. Je suis ravi que Sosh ait pu nous faire confiance de la sorte. C’est une expérience incroyable d’avoir pu réaliser ça. On est bien conscients de la chance qu’on a. Le groupe Orange est client de l’agence depuis 2010 et on a encore de belles choses à écrire. En plaisantant quand on a voulu arrêter le iF3 pour créer notre propre festival, j’utilisais la métaphore « On a été la nounou du iF3, on est les parents du High Five ». Justement en conservant cette vision, je peux vous dire qu’on sait comment le High Five va grandir et qu’on veut qu’il continue de s’émanciper et à nous étonner.
Au delà de 2018, j’ai aussi 2019 en tête. Je peux vous confier que le thème de 2018 sera « Les copains d’abords » et que 2019 sera une édition anniversaire. 10 ans ça se fête et ça se prépare !
Pas trop difficile de revenir au quotidien après l'organisation d'un tel événement?
Au début quand tu fais ce métier, oui c’est dur, car ce coup de lumière te fait croire que t’es quelqu’un, ton téléphone sonne, tu as plein de sms… et d’un coup ça s’arrête.
Aujourd’hui je suis bien conscient que je ne suis personne, et que tout ça c’est éphémère. Donc non ce n’est pas trop dur. C’est même reposant. J’aime ce mélange de rythme. Ça booste. Et puis, j’ai de la chance, je vis dans ma bulle et ça m’aide à être heureux et à conserver mon âme d’enfant. Je suis très proche de ma famille et souvent avec mes parents, avec ma sœur, (mon frère moins malheureusement car il vit aux USA mais on s’appelle souvent). J’ai une famille simple, avec de belles valeurs et ça m’aide. Avant j’avais le « baby blues » à la fin de mes événements, maintenant, je prends chaque jour comme un jour à vivre pleinement. Ce qui me rend le plus heureux après les événements c’est d’aller me ressourcer en alpage à Serre Chevalier. Et puis, à l’agence on en organise plusieurs des événements, donc quand l’un finit, un autre redémarre.
Si tu avais trois mots pour te définir ?
- Famille car je ne peux pas passer une journée sans appeler ma maman.
- Passion (car mon travail c’est une passion)
- Jouer (à Fifa le midi avec l’équipe à la pause, mais aussi jouer au sens large et voir le bon côté des choses)
Plus d'informations sur le Sosh Big Air dans notre article : SOSH BIG AIR Annecy 2eme LE LINE UP 2017 DEVOILE
Au début quand tu fais ce métier, oui c’est dur, car ce coup de lumière te fait croire que t’es quelqu’un, ton téléphone sonne, tu as plein de sms… et d’un coup ça s’arrête.
Aujourd’hui je suis bien conscient que je ne suis personne, et que tout ça c’est éphémère. Donc non ce n’est pas trop dur. C’est même reposant. J’aime ce mélange de rythme. Ça booste. Et puis, j’ai de la chance, je vis dans ma bulle et ça m’aide à être heureux et à conserver mon âme d’enfant. Je suis très proche de ma famille et souvent avec mes parents, avec ma sœur, (mon frère moins malheureusement car il vit aux USA mais on s’appelle souvent). J’ai une famille simple, avec de belles valeurs et ça m’aide. Avant j’avais le « baby blues » à la fin de mes événements, maintenant, je prends chaque jour comme un jour à vivre pleinement. Ce qui me rend le plus heureux après les événements c’est d’aller me ressourcer en alpage à Serre Chevalier. Et puis, à l’agence on en organise plusieurs des événements, donc quand l’un finit, un autre redémarre.
Si tu avais trois mots pour te définir ?
- Famille car je ne peux pas passer une journée sans appeler ma maman.
- Passion (car mon travail c’est une passion)
- Jouer (à Fifa le midi avec l’équipe à la pause, mais aussi jouer au sens large et voir le bon côté des choses)
Plus d'informations sur le Sosh Big Air dans notre article : SOSH BIG AIR Annecy 2eme LE LINE UP 2017 DEVOILE