Tout ce qu’il faut savoir du « Défi Eurostop »
Le défi
Le défi Eurostop se déroulera du 26 au 29 mars 2021. Il propose aux étudiants une aventure exceptionnelle. C’est l’occasion pour les étudiants les plus téméraires de partir à la découverte de la France, et même de toute l’Europe. C’est le moment de respirer l’air pure et de voire du pays !
Ses objectifs
L’objectif est simple. En binôme, les jeunes devront réaliser un maximum de kilomètre en auto-stop (et transports en commun en agglomération). Le challenge s’étend sur un long week-end (vendredi 18 h à lundi 8 h).
L’application LIFE360 géolocalisera les équipes en temps réel et comptabilisera le nombre de kilomètres parcourus.
Tout au long de votre voyage, pas moins de 100 défis pourront être réalisés. Ces derniers feront redoubler de créativité aux participants, mais surtout, leur permettront de gagner des points.
À savoir que le score final comprend le nombre de kilomètres parcourus et les points défis accumulés.
Ses leitmotivs
Entraide, solidarité et simplicité sont les maîtres-mots de ce challenge. Les étudiants ont l’opportunité de vivre une expérience qu'ils ne sont pas près d’oublier !
Le défi Eurostop se déroulera du 26 au 29 mars 2021. Il propose aux étudiants une aventure exceptionnelle. C’est l’occasion pour les étudiants les plus téméraires de partir à la découverte de la France, et même de toute l’Europe. C’est le moment de respirer l’air pure et de voire du pays !
Ses objectifs
L’objectif est simple. En binôme, les jeunes devront réaliser un maximum de kilomètre en auto-stop (et transports en commun en agglomération). Le challenge s’étend sur un long week-end (vendredi 18 h à lundi 8 h).
L’application LIFE360 géolocalisera les équipes en temps réel et comptabilisera le nombre de kilomètres parcourus.
Tout au long de votre voyage, pas moins de 100 défis pourront être réalisés. Ces derniers feront redoubler de créativité aux participants, mais surtout, leur permettront de gagner des points.
À savoir que le score final comprend le nombre de kilomètres parcourus et les points défis accumulés.
Ses leitmotivs
Entraide, solidarité et simplicité sont les maîtres-mots de ce challenge. Les étudiants ont l’opportunité de vivre une expérience qu'ils ne sont pas près d’oublier !
Élisa Degore - Participante du "défi Eurostop" édition 2018 et 2019
Élisa Degore a participé deux fois au défi Eurostop. En 2018, la jeune femme a parcouru 2460 kilomètres et est allée jusqu’à Prague, en République Tchèque. En 2019, Élisa remporte la compétition en ayant regagné Bilbao, en Espagne, avec au compteur, 981 kilomètres. Pour elle, l’Eurostop fut l’élément déclencheur de nombreuses épopées. Aujourd’hui encore, elle continue de voyager en auto-stop.
Pourquoi as-tu décidé de participer à ce défi ?
J’adore ce côté road trip. J’adore cette idée de partir à l’aventure, et puis c’est pendant une période assez courte. Il y a aussi le côté compétitif qui est assez plaisant. C’est convivial et ça permet de rencontrer plein de monde d’horizons différents. On peut bouger tout en essayant de profiter.
As-tu rencontré des personnes marquantes lors de tes trajets ?
Oui bien sûr ! J’ai rencontré un gars qui m’a marqué. Il m’a permis d’avoir des contacts pour un stage en Tanzanie. Même si le stage n’a finalement pas eu lieu, c’était une superbe belle rencontre. J’ai aussi rencontré une dame, avec qui, on avait bien parlé sur le plan humain. C’était un échange très intéressant, plein de vie et d’expériences. Il y a également un couple qui m’a marqué lors de l’expérience à Bilbao. Ils nous avaient pris à la frontière espagnole. Ils n’étaient pas du tout partis pour aller jusqu’à Bilbao. Au fur et à mesure on a sympathisé avec eux. Sur la route, ils se sont dit « Écoutez, c’est l’anniversaire de ma chérie. On n’est jamais allé à Bilbao donc on va y aller avec vous. On profite sur place et on rentre le soir. » Au final on avait passé toute la journée avec eux. On s’était fait un restau et puis à la fin, ils nous avaient même ramené jusqu’à la frontière française. C’était génial et complètement improbable. C’était grâce à eux qu’on avait gagné cette édition-là.
« J’y ai pris goût ! »
Pourquoi as-tu décidé de participer à ce défi ?
J’adore ce côté road trip. J’adore cette idée de partir à l’aventure, et puis c’est pendant une période assez courte. Il y a aussi le côté compétitif qui est assez plaisant. C’est convivial et ça permet de rencontrer plein de monde d’horizons différents. On peut bouger tout en essayant de profiter.
As-tu rencontré des personnes marquantes lors de tes trajets ?
Oui bien sûr ! J’ai rencontré un gars qui m’a marqué. Il m’a permis d’avoir des contacts pour un stage en Tanzanie. Même si le stage n’a finalement pas eu lieu, c’était une superbe belle rencontre. J’ai aussi rencontré une dame, avec qui, on avait bien parlé sur le plan humain. C’était un échange très intéressant, plein de vie et d’expériences. Il y a également un couple qui m’a marqué lors de l’expérience à Bilbao. Ils nous avaient pris à la frontière espagnole. Ils n’étaient pas du tout partis pour aller jusqu’à Bilbao. Au fur et à mesure on a sympathisé avec eux. Sur la route, ils se sont dit « Écoutez, c’est l’anniversaire de ma chérie. On n’est jamais allé à Bilbao donc on va y aller avec vous. On profite sur place et on rentre le soir. » Au final on avait passé toute la journée avec eux. On s’était fait un restau et puis à la fin, ils nous avaient même ramené jusqu’à la frontière française. C’était génial et complètement improbable. C’était grâce à eux qu’on avait gagné cette édition-là.
Tu nous raconte une anecdote ?
À l’édition de Prague, on a vécu une bonne galère mais bien marrante avec du recul. En revenant de Prague, on essayait de rejoindre l’Alsace et on s’était endormi dans la voiture. Le gars nous a déposé à Osburg, une ville bien paumée au milieu de l’Allemagne. C’était le soir de la Saint Patrick. Il neigeait et il faisait très froid. On s’est retrouvé à 1 heure du matin, en plein milieu de Osburg avec des gens qui étaient complètement bourrés. On s’est réfugié dans un Mc Do. C’était le seul endroit chaud en attendant de trouver quelqu’un au petit matin. On s’est dit « Mais on ne va jamais réussir à rentrer chez nous, c’est pas possible ! ». Gros moment de galère et de doute, mais au final, tout s’est bien terminé. On a réussi à rejoindre l’Alsace et à rentrer sur Annecy.
À l’édition de Prague, on a vécu une bonne galère mais bien marrante avec du recul. En revenant de Prague, on essayait de rejoindre l’Alsace et on s’était endormi dans la voiture. Le gars nous a déposé à Osburg, une ville bien paumée au milieu de l’Allemagne. C’était le soir de la Saint Patrick. Il neigeait et il faisait très froid. On s’est retrouvé à 1 heure du matin, en plein milieu de Osburg avec des gens qui étaient complètement bourrés. On s’est réfugié dans un Mc Do. C’était le seul endroit chaud en attendant de trouver quelqu’un au petit matin. On s’est dit « Mais on ne va jamais réussir à rentrer chez nous, c’est pas possible ! ». Gros moment de galère et de doute, mais au final, tout s’est bien terminé. On a réussi à rejoindre l’Alsace et à rentrer sur Annecy.
Comment se passent vos soirées ? Vous cherchez un endroit pour dormir ?
Tout dépend de chacun. Personnellement, lors des deux éditions que j’ai faîtes, on n’a presque pas dormi. En général, on essayait de tracer un maximum pendant la nuit. On dort par intermittence dans les voitures. Il y en a qui ont leur sac de couchage et qui vont dormir sur une aire de repos. Et il y en a qui vont carrément se faire héberger par des personnes qu’ils ont rencontré.
Quel est votre rapport avec les organisateurs ? Êtes-vous bien encadrés ?
Pour les personnes qui ont un peu peur, ce qui est rassurant avec l’Eurostop, c’est qu’on a un suivit GPS tout le long. On doit aussi envoyer régulièrement des photos. Ça permet aux organisateurs de savoir où on est et ce qu’on fait. C’est le côté sécurisant de cette compétition.
Qu’est-ce que cette expérience t’a apportée dans ta vie quotidienne ?
Au final, je me suis rendue compte que l’auto-stop c’est un super moyen de transport. Le « défi Eurostop » m’a permis d’ensuite refaire de l’auto-stop avec des copains mais dans un autre esprit : pour profiter. Je suis notamment allée à Bruxelles avant la Covid. Rencontrer du monde et avoir des échanges, c’est top. On a été hébergé une fois par l’habitant. Ça nous permet de créer des liens avec certaines personnes. J’y ai pris goût ! On voyage autrement. Tu ne sais pas trop ce qui peut t’arriver, mais en général ça se passe toujours bien !
Tout dépend de chacun. Personnellement, lors des deux éditions que j’ai faîtes, on n’a presque pas dormi. En général, on essayait de tracer un maximum pendant la nuit. On dort par intermittence dans les voitures. Il y en a qui ont leur sac de couchage et qui vont dormir sur une aire de repos. Et il y en a qui vont carrément se faire héberger par des personnes qu’ils ont rencontré.
Quel est votre rapport avec les organisateurs ? Êtes-vous bien encadrés ?
Pour les personnes qui ont un peu peur, ce qui est rassurant avec l’Eurostop, c’est qu’on a un suivit GPS tout le long. On doit aussi envoyer régulièrement des photos. Ça permet aux organisateurs de savoir où on est et ce qu’on fait. C’est le côté sécurisant de cette compétition.
Qu’est-ce que cette expérience t’a apportée dans ta vie quotidienne ?
Au final, je me suis rendue compte que l’auto-stop c’est un super moyen de transport. Le « défi Eurostop » m’a permis d’ensuite refaire de l’auto-stop avec des copains mais dans un autre esprit : pour profiter. Je suis notamment allée à Bruxelles avant la Covid. Rencontrer du monde et avoir des échanges, c’est top. On a été hébergé une fois par l’habitant. Ça nous permet de créer des liens avec certaines personnes. J’y ai pris goût ! On voyage autrement. Tu ne sais pas trop ce qui peut t’arriver, mais en général ça se passe toujours bien !
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