Vous êtes à Musilac. Vous avez l’habitude de faire des festivals ?
Oui, mais celui-là, c’est la première fois. Il y a un vrai esprit festival. C’est très convivial, la scène est énorme.
Vous êtes là depuis plusieurs jours. Vous avez vu d’autres artistes ? David Guetta ?
J’ai vu David, c’est un vieux copain de trente ans.
Qu’est-ce qui vous fait vibrer aujourd’hui ?
C’est pas les ventes des disques. Ce qui me fait courir, c’est ce qui va se passer dans cinq heures : être sur scène. Parce qu’on a le tract, c’est un peu comme une relation de séduction. On est sûr de deux ou trois titres, le reste on joue avec, c’est un kif ! Comme il faut faire venir les gens, il faut un peu de lumière, les tubes sont nécessaires.
Oui, mais celui-là, c’est la première fois. Il y a un vrai esprit festival. C’est très convivial, la scène est énorme.
Vous êtes là depuis plusieurs jours. Vous avez vu d’autres artistes ? David Guetta ?
J’ai vu David, c’est un vieux copain de trente ans.
Qu’est-ce qui vous fait vibrer aujourd’hui ?
C’est pas les ventes des disques. Ce qui me fait courir, c’est ce qui va se passer dans cinq heures : être sur scène. Parce qu’on a le tract, c’est un peu comme une relation de séduction. On est sûr de deux ou trois titres, le reste on joue avec, c’est un kif ! Comme il faut faire venir les gens, il faut un peu de lumière, les tubes sont nécessaires.
La séduction, vous connaissez. Il y a toujours des jeunes filles sur vos pochettes, sur scène, qu’est-ce qu’on va voir ce soir ?
Des musiciens ! Il y a Barbara Tucker, considérée comme la diva du house aux USA, Mandel Turner….. On est neuf sur scène ; certains sont avec moi depuis très longtemps. J’ai même un percussionniste qui faisait partie avec moi du groupe Kongas avant que je sois en solo. On ne s’est jamais quittés.
Des musiciens ! Il y a Barbara Tucker, considérée comme la diva du house aux USA, Mandel Turner….. On est neuf sur scène ; certains sont avec moi depuis très longtemps. J’ai même un percussionniste qui faisait partie avec moi du groupe Kongas avant que je sois en solo. On ne s’est jamais quittés.
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Malgré votre expérience, vous avez toujours le trac ?
Oui, j’ai de nombreuses anecdotes là-dessus. On début de ma carrière, je pensais que ça ne durerait pas longtemps…
Le trac, ou votre carrière ?
J’ai toujours le trac, et je me suis dit « Le jour où je ne l’ai plus, j’arrête ». J’ai toujours été indépendant, je n’ai jamais eu des dizaines de personnes derrière moi pour me motiver, faire de l’argent. Je n’ai pas toujours suivi les modes, il y a donc eu des périodes difficiles mais il y a toujours eu la scène. Mettre ses nanas nues ici ou là… il faut être mégalo, mais j’assume, c’est pour mettre de la lumière.
Mais je ne peux pas vivre sans la scène.
Voir aussi notre interview de Marc Cerrone à Musilac en 2023
Oui, j’ai de nombreuses anecdotes là-dessus. On début de ma carrière, je pensais que ça ne durerait pas longtemps…
Le trac, ou votre carrière ?
J’ai toujours le trac, et je me suis dit « Le jour où je ne l’ai plus, j’arrête ». J’ai toujours été indépendant, je n’ai jamais eu des dizaines de personnes derrière moi pour me motiver, faire de l’argent. Je n’ai pas toujours suivi les modes, il y a donc eu des périodes difficiles mais il y a toujours eu la scène. Mettre ses nanas nues ici ou là… il faut être mégalo, mais j’assume, c’est pour mettre de la lumière.
Mais je ne peux pas vivre sans la scène.
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