Le voyage continue ! D’une création à l’autre, de l’intime au social, du familial au politique, du biologique au culturel Dominique Pitoiset embrasse toutes les facettes de cette réalité qui nous façonne autant que nous la construisons.
Nous retrouverons, avec « Linda Vista », l’acuité du regard de Tracy Letts et celle de la mise en scène de Dominique Pitoiset.
Move-On magazine vous rappelle, en attendant, quelques extraits des critiques consacrées sur notre site aux précédentes créations de Dominique Pitoiset à Bonlieu Scène Nationale.
A LOVE SUPREME, L’art est une doublure cul de la réalité
On retrouve dans sa mise en scène cette cohérence qui lui est habituelle et qui consiste à donner sa juste place à chaque élément, lumière et musique comprises afin de créer un ensemble dans lequel toutes les parties se répondent.
Nous retrouverons, avec « Linda Vista », l’acuité du regard de Tracy Letts et celle de la mise en scène de Dominique Pitoiset.
Move-On magazine vous rappelle, en attendant, quelques extraits des critiques consacrées sur notre site aux précédentes créations de Dominique Pitoiset à Bonlieu Scène Nationale.
A LOVE SUPREME, L’art est une doublure cul de la réalité
On retrouve dans sa mise en scène cette cohérence qui lui est habituelle et qui consiste à donner sa juste place à chaque élément, lumière et musique comprises afin de créer un ensemble dans lequel toutes les parties se répondent.
A Love Supreme
Patrick Cohen & Albert Timsit ! Le Livre de ma mère, du 19 au 21 septembre 2017.
Ce Livre de ma mère a d’abord porté le titre de Chant. On retrouve dans cette création proposée à Bonlieu le chant, l’incantation, la supplique, les vibrations intimes d’un homme qui touche toute l’humanité, d’un fils qui se met à nu pour atteindre l’essence de l’être.
"Cause toujours", vous dites-vous ? Non, parce que, comme toujours avec Dominique Pitoiset, la mise en scène n’a recours à aucun effet, aucun artifice, aucun jeu inutile et on sent que cette contrainte grandit Patrick Timsit
Ce Livre de ma mère a d’abord porté le titre de Chant. On retrouve dans cette création proposée à Bonlieu le chant, l’incantation, la supplique, les vibrations intimes d’un homme qui touche toute l’humanité, d’un fils qui se met à nu pour atteindre l’essence de l’être.
"Cause toujours", vous dites-vous ? Non, parce que, comme toujours avec Dominique Pitoiset, la mise en scène n’a recours à aucun effet, aucun artifice, aucun jeu inutile et on sent que cette contrainte grandit Patrick Timsit
Avec Patrick Timsit pour "Le livre de ma mère" d'Albert Cohen ©MoveOnMAg
La Résistible Ascension d’Arturo UI, Glaçant
Le tonnerre d’applaudissements qui salue la représentation est aussi un soulagement, une libération de cette tension qui va crescendo jusqu’à la scène finale que l’on pressent et qui pourtant nous fige, nous paralyse et nous renvoie, au travers de l’Histoire, aux enjeux de notre époque.
Le syndrome d’Alice, création de Dominique Pitoiset à Bonlieu
Le tonnerre d’applaudissements qui salue la représentation est aussi un soulagement, une libération de cette tension qui va crescendo jusqu’à la scène finale que l’on pressent et qui pourtant nous fige, nous paralyse et nous renvoie, au travers de l’Histoire, aux enjeux de notre époque.
Le syndrome d’Alice, création de Dominique Pitoiset à Bonlieu
- Finalement, on voyage pas mal avec Dominique Pitoiset.
- Et pas que de salle en salle. Quel que soit le format de la scène il sait occuper l’espace avec intelligence et fluidité. Un mouvement qui n’est jamais gratuit mais qui exprime la pensée, l’intention, l’émotion, le conflit…
Création de "L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau", mardi 3 novembre.
Cette pièce pose la question de la normalité. Quelle est-elle ? Ce que nous percevons ? Ce que l’autre perçoit ? Ce que nous percevons de lui ?
Très astucieusement la mise en scène projette les ombres des personnages et des musiciens sur le fond de scène et sur les côtés. La réalité serait-elle plus complexe qu’il n’y paraît ? Multiple ?
Dominique Pitoiset fait la démonstration qu’on peut offrir au public un spectacle intelligent, exigeant , sensible et convaincant à la fois. Profondément humain.
Un été à Osage County, du 6 au 9 novembre.
« Il perd, celui qui sait ce qu’il va faire s’il gagne. Il gagne, celui qui sait ce qu’il va faire s’il perd. » (Machiavel). Or dans "Un été à Osage County" tout le monde est perdant.
Cette pièce pose la question de la normalité. Quelle est-elle ? Ce que nous percevons ? Ce que l’autre perçoit ? Ce que nous percevons de lui ?
Très astucieusement la mise en scène projette les ombres des personnages et des musiciens sur le fond de scène et sur les côtés. La réalité serait-elle plus complexe qu’il n’y paraît ? Multiple ?
Dominique Pitoiset fait la démonstration qu’on peut offrir au public un spectacle intelligent, exigeant , sensible et convaincant à la fois. Profondément humain.
Un été à Osage County, du 6 au 9 novembre.
« Il perd, celui qui sait ce qu’il va faire s’il gagne. Il gagne, celui qui sait ce qu’il va faire s’il perd. » (Machiavel). Or dans "Un été à Osage County" tout le monde est perdant.
Articles similaires...
-
Anne de Bretagne : Une Fresque Théâtrale entre Histoire et Tragédie
-
We are Wolves, une pièce de théâtre féministe
-
Pierre Richard sur scène à Thônes, un spectacle qui revisite son image
-
NEOLITHICA (LE GRAND SECRET) : Un Spectacle Itinérant qui Révèle les Origines du Pouvoir
-
Joseph Paleni continue de cultiver son jardin
Dominique Pitoiset
La mise en scène de Dominique Pitoiset met judicieusement en relief les tensions et les affrontements. Elle est admirablement servie par un décor qui habite toute la largeur de la nouvelle scène de Bonlieu et par des lumières judicieusement dosées qui donnent l’impression d’observer un aquarium. L’ensemble traduit vraiment la solitude de ces personnages pourtant rassemblés sous le même toit et fait penser aux tableaux d’Edward Hopper dans lesquels la lumière réunit et isole à la fois.